Questions fréquentes

Efflorescences: qu'est-ce que c'est, comment les prévenir et les traiter?

L'une des pathologies les plus fréquentes sur les façades est l'efflorescence. Il s'agit de taches blanchâtres d'aspect irrégulier qui apparaissent sur des surfaces ayant subi de l'humidité. Lorsque la surface s'assèche et que l'eau s'évapore, certains des sels solubles présents dans l'eau se cristallisent, provoquant l'apparition d'efflorescences.

Les principales causes de ce problème sont les précipitations et l'humidité excessive. Pour prévenir et traiter les taches d'efflorescence, il est donc essentiel de protéger les surfaces face à ces facteurs.

Causes et types d'efflorescences
Les efflorescences, également appelées le salpêtre ou l´alcalinité, en plus d'être un problème esthétique, peuvent représenter un danger pour le support sur lequel elles se trouvent, car elles peuvent le détériorer sérieusement. En général, cette pathologie se manifeste sur des surfaces en béton, en brique et en pierre. Voici quelques-uns des principaux facteurs qui provoquent leur apparition :

•    Matériaux de construction très poreux contenant des sels solubles.
•    Les conditions météorologiques telles que la pluie et les basses températures.
•    L'humidité par la remontée capillaire ou la condensation.

On peut distinguer deux types d’efflorescence :

•    L'efflorescence primaire : c'est celle qui se forme sur les chantiers récemment achevés à cause de l'humidité. Bien que son apparition soit généralement inévitable, elle disparaît peu de temps après sans laisser de trace.
•    Efflorescence secondaire : c'est celle qui apparaît dans les anciens bâtiments en raison d'une mauvaise construction ou du choix de matériaux inadaptés. Elles peuvent également apparaître, comme nous l'avons constaté antérieurement, en raison d'une porosité élevée ou de l'humidité.

Comment prévenir et traiter l´apparition d'efflorescences ?
Cette pathologie contrariante peut être prévenue de différentes manières. Dans le cas de surfaces de nouvelle construction, un soin particulier doit être apporté au choix des matériaux appropriés. À ce stade, il est important d'éviter l'utilisation d'eaux calcaires et de mortiers à forte alcalinité. Il est également essentiel de respecter les temps de séchage de chaque matériau utilisé dans la construction.

Dans le cas de surfaces déjà existantes, il est essentiel de contrôler l'humidité. Comme indiqué ci-dessus, l'humidité de condensation et l'humidité par remontée capillaire, peuvent toutes deux provoquer des efflorescences. Chacune d'entre elles doit être traitée de manière différente : dans le cas des condensations, la solution consiste à appliquer un système d'isolation thermique ; tandis que dans le cas de l'humidité par remontée capillaire, une amélioration constructive sera nécessaire, car celles-ci proviennent du sous-sol.

En revanche, si les taches causées par l'efflorescence sont déjà apparues, la principale mesure consiste à nettoyer puis à appliquer une nouvelle mesure de protection sur le support. La façon la plus simple de les éliminer est avec de l'eau sous pression et une brosse, mais il est parfois nécessaire d'utiliser un nettoyant spécifique pour ce type de pathologie. Après le nettoyage, il est important de laisser la surface sécher complètement pour éviter que les taches ou les problèmes d'humidité ne réapparaissent.

Pour compléter le processus et éviter que ces taches inesthétiques ne réapparaissent, il est conseillé d'appliquer une protection supplémentaire sur la façade, comme l'application d'ANTISALMOR, un additif produit à base aqueuse, indiqué pour éliminer et retenir l´apparition d'efflorescences causées par le salpêtre sur les parements habituels d´œuvres en construction, tels que les mortiers, le béton, la brique et le béton armé, la pierre naturelle, etc. Il a une grande pénétration dans le support et beaucoup de capacité pour la dissolution des sels. Cet additif empêche la cristallisation des sels sur la surface traitée. Il est transparent et incolore et capable de lier des particules détachées ou peu adhérentes.
 


Pourquoi le plâtre et le ciment sont-ils incompatibles? 

On dit souvent que le plâtre et le ciment sont de faux amis ; car ils sont compatibles dans un premier rencontre et totalement incompatibles si ils se rencontrent à nouveau après une période de temps, nous vous expliquons :

Le plâtre, qui est en definitive du gypse, fait partie intrinsèque du ciment Portland, qui une fois gâché avec de l’eau donne lieu à la formation de l’ettringite; cette réaction est importante car elle donne des caractéristiques plastiques à la pâte du ciment pour qu’elle soit maniable, ainsi elle contrôle le temps de prise de pâte et le développement de la dureté.

L’ettringite, est un produit formé lors de la réaction de hydratation du ciment qui a lieu dans les premières heures de contact avec l’eau et jusqu’à 28 jours environ.

Par contre l’ettringite secondaire (il s’agit de la même composition chimique), se réfère a l’apparition de ce même phénomène, mais après durcissement complet du ciment (après les 28 jours).

Le scénario le plus souvent posé dans le monde du mortier par exemple, c’est en appliquant un mortier cémenteux sur des supports en plâtre (ou au contraire) ; cela donnera lieu à l’activation du ciment (en présence d’eau) à nouveau en contact avec le plâtre, ce qui donnera lieu automatiquement à l’apparition de l’ettringite secondaire.

En termes pratiques et/ou pathologiques, il y aura un gonflement dû à la non compatibilité chimique entre les deux matériaux à cette étape-là, et comme expliqué, la réaction donnera lieu à la formation des sels expansifs (ettringite) et elle se poursuit jusqu'à la désagrégation du mortier.
 


Pourquoi est-il important de passiver? 

La passivation est la protection contre la corrosion donnée par le béton aux armatures en acier, en raison de son alcalinité. Toutefois, cette alcalinité diminue avec le temps, en raison du processus de carbonatation provoqué par la réaction du CO2 (dioxyde de carbone), présent dans l'atmosphère, avec le béton. La carbonatation est accélérée lorsque le béton est très poreux ou que l'épaisseur protégeant les armatures est faible, généralement moins de deux centimètres.

Le béton carbonaté n'est pas protégé et avec l'humidité, l'armature en acier s'oxyde. 
En rouillant, il augmente de volume, ce qui provoque la rupture et le détachement du béton.
 


Qu’est-ce que la Déclaration de Performance (DoP)?

La déclaration des performances est un document légal qui doit être mis à la disposition du public et dans lequel le fabricant identifie le produit, son usage prévu et indique les performances déclarées du même, dans ce cas, du mortier ; toujours si le produit est couvert par une norme européenne harmonisée (hEN) ou un agrément technique européen (ATE).

Ces déclarations et leur respect généralement doivent être validés par un organisme indépendant (organisme et/ou laboratoire agrée); toutefois, ils existent quelques produits que ne sont pas obligé à être validé extérieurement, il suffit de documenter un suivi interne de contrôle de qualité suivant les indications et instructions de la normative européenne pour déclarer leur performances.

Par l’établissement de cette déclaration DoP, le fabricant assume la responsabilité totale de la conformité du produit de construction aux performances déclarées.
 


Pourquoi faut-il utiliser un primaire sur le béton lisse?

Le béton lisse présente une surface d’aspect vitrifié sans porosité ou de porosité très faible; ce qui empêche le bon accrochage des mortiers de revêtement et les mortiers monocouche, qui agissent par adhérence mécanique du sa nature à base de ciment.

Pour cette raison, l’utilisation d’un pont d’adhérence, aussi appelé primaire d’accrochage, désormais obligatoire. Il est composé normalement de résines qui assurent l’accrochage par contact chimique, ainsi des charges minérales et des grains afin de favoriser la rugosité de la superficie et améliorer l’accrochage. En fin de compte, c’est le pont d’union pour réussir l’accrochage des revêtements sur une surface sans absorption telle que le béton lisse.


Pour qu’elle raison l’épaisseur minimale indiqué pour avoir un revêtement imperméable est de 1 cm ?

Pour imperméabiliser une façade en utilisant un mortier à base de ciment, ce dernier doit contenir parmi ses additifs des hydrofuges pour apporter cette caractéristique au revêtement (en termes techniques : absorption d’eau par capillarité). Un mortier peut avoir 3 niveaux du dite imperméabilisation selon la normative UNE-EN 998 Définitions et spécifications des mortiers pour maçonnerie. Partie 1 : Mortiers d'enduits minéraux extérieurs et intérieurs à savoir :

•           W0, valeurs non spécifiées.

•           W1, c ≤ 0,40 kg/m2 . min 0,5

•           W2, c ≤ 0,20 kg/m2 . min 0,5

Pour des murs intérieurs ou en tout cas qui ne nécessitent pas d’imperméabilisation ou qui nécessitent une imperméabilisation légère, les types W0 et W1 peuvent être indiqués due à que la résistance à l’absorption d’eau dans ces cas n’est pas une condition nécessaire.

Par contre, généralement pour toutes les façades et les murs extérieurs -afin de protéger la façade et augmenter la durabilité du revêtement- des enduits du type W2, c’est-à-dire imperméable à l’eau de la pluie sont prescrits. Toutefois, afin d’obtenir l’imperméabilité nécessaire du mortier, une épaisseur minimale de 1cm doit être respecté après finition de la façade afin d’assurer l’imperméabilisation déclarée.  Cela est due principalement au fait que la concentration minimale nécessaire des hydrofuges par m2 et par 1cm d’épaisseur pour ce produit est formulée normalement avec ces limites pour minimiser l’absorption d’eau par les capillaires du mortier.


Quelles sont les avantages du mortier industriel par rapport au mortier traditionnel, mortier de chantier ou mortier « in situ » ?

Mortier traditionnel, mortier de chantier ou mortier « in situ » ce sont tous des synonymes pour donner à expliquer que le mortier est composé de constituants individuels (ciment, sables, etc.) qui sont « dosés » et « mélangés » sur chantier.

Par contre, un mortier industriel c’est un mortier dosé et mélangé en usine; sous forme de « mortier sec » prêt à gâcher avec de l’eau, ou bien sous forme de « mortier humide » prêt à appliquer.

Cette-ci c’est la classification des mortiers selon leur mode de fabrication telle que définie par la normative EN 998-1 : Définitions et spécifications des mortiers pour maçonnerie ; Partie 1 : Mortiers d’enduits minéraux extérieurs et intérieurs.

Parmi les avantages d’un mortier industriel par rapport un mortier traditionnel, on peut souligner les suivants :

•    Homogénéité/stabilité de produit ( dosage industriel) : tant que le dosage est réalisé dans une usine ou le processus de fabrication est totalement automatisé, la précision de pesage et de dosage de chaque composant (sables, ciments, résines, additifs, pigments..) est presque parfaite on annulant tous les inconvénients d’un dosage manuel dans un mortier traditionnel ou l’erreur humain de surdosage est plus fréquent.
•    Contrôle rigoureux de matière première : le contrôle rigoureux de matière première à chaque arrivage en usine, grâce à l’intégration d’un laboratoire de contrôle interne assure la stabilité des composants individuels, ce qui assure a son fois la stabilité du produit fini ; un avantage, généralement, qui n’est pas disponible pour un mortier préparer sur chantier ou les arrivages ne sont pas contrôlés par un laboratoire.
•    Economie dans la main d’œuvre : avec un mortier traditionnel, plusieurs ouvriers sont nécessaires : des ouvriers pour le transport des composants individuels au site d’application, des ouvriers pour le dosage et mélangeage, et des ouvriers pour l’application. Par contre un mortier industriel réduit automatiquement les deux premières étapes, il suffit d’ajouter de l’eau pour commencer l’application. Ce point améliore les couts relatifs à l’effectif, on passe d’avoir la moitié d’effectif voire plus par rapport à un mortier traditionnel.
•    Rapidité d’exécution : sur les chantiers qui ont plus en plus des délais d’exécution serrés, un mortier traditionnel désormais ineffectif due à toutes les étapes nécessaires pour son préparation, comme discuté dans le dernier point. Par contre, un mortier industriel fait optimiser le temps et focaliser les efforts à la bonne application seulement, spécialement si utilisant une machine de projection ; en optimisant les temps d’exécution au maximum.
•    Avantages au niveau de l'administration de l'entreprise: Un mortier traditionnel est composé de plusieurs matières premières qui sont généralement fournies par différents fournisseurs, cela peut entraîner des retards de livraison, des problèmes d'organisation au niveau de l'administration, des paiements ... etc. Un mortier industriel est fourni par un seul fournisseur et cela simplifie les opérations d'organisation.


Quelle est la différence entre les mortiers Morcemsec d'extérieur et le Morcemdur ?

La principale différence entre un mortier de revêtement de la gamme Morcemsec et un mortier monocouche de la gamme Morcemdur vient déterminée principalement par la normative européenne (EN) des mortiers EN 998-1, qui fait la différence entre les deux types. Entre le premier type qui doit être classifié comme GP (Mortier à usage courant, gris) ou CR (Mortier colorée, blanc inclus) et le Morcemdur qui doit être classifié OC, la principale caractéristique technique c’est que plus d’exigences sont demandés à un mortier monocouche qu’à un mortier de revêtement classique, notamment la résistance en termes de durabilité du mortier dans le temps.
Il y ont deux types de tests exigés selon la EN qu’un mortier monocouche Morcemdur doit achever mais qu’à un mortier classique Morcemsec ne lui sont pas exigés, à savoir :


•    Adhérence après des cycles de gel/dégel et ;
•    Perméabilité à l’eau après les cycles de gel/dégel.


Le fait qu’un Morcemdur passe par ces deux tests de conditionnement relève la haute résistance qui présente ce mortier et la haute durabilité dans le temps qui peut achever. Caractéristique technique achevée par l’addition des résines spécifiques pour améliorer la résistance des fibres pour prévenir l’apparition des fissures, des granulats légères, etc.
 


Dans les revêtements  en céramique: pourquoi faisons-nous des panneaux plus petits si la céramique à poser est grande?

Lorsque l'on pose un revêtement céramique, il faut tenir compte du fait que le comportement face aux changements de température varie entre certains matériaux et d'autres, comme la céramique elle-même et les matériaux que l'on trouvera plus communément comme support. Pour cette raison, il est nécessaire de laisser des joints de pose entre les pièces en céramique, remplis de mortiers de jointoiement MORCEMCOLOR, ce qui aidera à absorber ces différences de mouvement entre support et la céramique.

Dans les grandes surfaces et dans les situations particulièrement délicates, comme les murs extérieurs, il faut renforcer ces joints entre des pièces avec des joints légèrement plus grands, remplis de matériaux très élastiques, comme un mastic de la gamme PUMALASTIC. Il faut faire un plus grand nombre de joints de dilatation, moins il y a de joints de pose, c'est-à-dire plus la taille des pièces placées est grande.


Pourquoi ne puis-je pas appliquer un mortier au dessous de 5°C ni au dessus de 30°C?

La température d'application des mortiers est un facteur très important dont il faut tenir compte.

Nous ne pouvons pas l'appliquer au dessous de 5°C pour plusieurs raisons :

Au-dessous de cette température, nous courons le risque de voir se former des cristaux de glace dans l'eau du mortier, ce qui empêche  l'apport d'eau au mortier de manière appropriée et engendre une prise incorrecte du ciment. Cela peut provoquer des fissures, un manque de consistance du mortier, etc.

- De plus, à cause de ces températures, la prise du ciment est ralentie et l'on n'obtient pas les réistances finales que l'on pourrait obtenir dans des conditions normales.

Nous ne pouvons pas l'appliquer au-delà de 30°C parce qu'à cause de ces températures, une évaporation de l'eau du mortier se produit. Cela implique que l'apport final d'eau au mortier est alors inférieur à l'apport nécessaire. De ce fait, le mortier est désagrégé et sans force, ce qui peut engendrer des fissures.

Pour éviter que cela arrive, lorsque nous travaillons par des jours très chauds, nous devons éviter de travailler aux heures les plus chaudes, mais plutôt  tôt le matin et en fin d'après-midi. Si l'on travaille sur une façade sur laquelle donne le soleil, il est recommandé de la protéger par des stores qui l'empêcheront de recevoir directement le soleil.


Lorsque je retire une pièce de grès porcelaneux mis en place avec PEGOLAND PORCELANICO, la pièce apparait propre. Cela signifie-t-il qu'elle n'était pas correctement fixée ?

Absolument pas. Lorsque nous travaillons avec des pièces de type grès porcelaneux dont l'absorption est quasiment nulle, la méthode de fixation entre l'adhésif et la pièce n'est pas traditionnelle. Nous avons besoin d'utiliser un adhésif cementeux présentant une teneur élevée en résine, qui assure une adhérence chimique. Ce type d'adhérence ne se réalise pas par pénetration du mortier dans les pores de la pièce, sinon il s'agit d'une adhérence superficielle.

Voila pourquoi la pièce apparait propre, car elle ne présente pas de pores où pourrait pénétrer le mortier, mais la fixation est bonne grâce à l'adhérence chimique qu'assurent les résines.


Dictionnaire
A C D E F G I L M O P R S T U V
162 filtrés (de 162)
Compilation et évaluation des données d’entrée, de sortie et des possibles impacts environnementaux d’un système tout au long de son cycle de vie.
L’échafaudage est une structure temporaire pour supporter les ouvriers, les produits et les équipements dans la construction ou la réparation de bâtiments ou autres ouvrages.
Additif
Matériau minéral formé de fines particules, qui peut être ajouté au mortier pour améliorer ses propriétés ou obtenir des caractéristiques spécifiques. (EN 13318, EN 998). 0300102
Adh
C’est la force maximale de rupture par unité de surface d’un mortier associé à un support ou un matériau, mesurée par traction ou cisaillement.
Adh
Mortier à base de polymère en dispersion utilisé pour l’assemblage de matériaux. (EN 12004).
Adjuvant
Matériau organique ou inorganique ajouté en faible quantité dans le mortier pour modifier ses propriétés à l’état frais et/ou durci. (EN 13318, EN 998).
Air occlus
Quantité d’air contenue dans un mortier. (EN 1015-7). 0400102
Ajustabilit
Durée maximale pendant laquelle l’ouvrage peut être corrigé sans perte significative des résistances finales (ex: correction d’éléments de maçonnerie ou de carrelage après application du mortier). (EN 1015-9 – Mortiers de montage). (EN 12004 – Colles à carrelage).
Algues et champignons
Application mono masse (frais sur frais)
Méthode d’application d’une nouvelle passe de mortier sur la précédente, avant sa prise. (EN 13318).
Argile expans
Granulat léger utilisé pour l’isolation, dont la structure cellulaire est obtenue par expansion d’argile sous l’effet de la chaleur. (EN ISO 9229)
Autolissant
itself. Capacité d’un mortier frais, fluide, à former naturellement une surface lisse.
Autonivelant
a flat surface. Capacité d’un mortier frais à s’étaler naturellement pour former une surface plane.
Capillarit
Capacité d’un mortier à absorber naturellement de l’eau liquide. Il n’y a pas de relation entre la porosité et la capillarité. (EN 1015-18 - Mortiers de maçonnerie). (EN 13888 – Mortiers de joints pour carrelage).
Cendres volantes
Une très fine cendre récupérée sur les filtres extérieurs des chaudières et fours de combustion de l’industrie produisant de l’énergie. De telles cendres ont des propriétés pouzzolaniques.
Chape
Couche adhérente ou non de mortier appliquée directement sur le sol ou sur une couche intermédiaire ou d’isolation pour obtenir un certain niveau, appliquer un revêtement et/ou avoir une surface résistante. (EN 13318).
Chape fluide
Chape faite en utilisant des propriétés auto nivelantes d’un mortier. (EN 13318).
Chaux hydrat
Liant produit par la calcination de pierres calcaires suivie d’une hydratation de l’oxyde de calcium conduisant à de l’hydroxyde de calcium sous forme de poudre sèche. (EN 459).
Chaux hydraulique naturelle (NHL)
Un liant produit par calcination d’un calcaire contenant naturellement de l’argile. Il a des propriétés de séchage et de durcissement sous l’effet de l’eau (réaction d’hydratation) De plus la carbonatation se produisant par la réaction avec le dioxyde de carbone de l’atmosphère, cela contribue aussi au processus de durcissement. La Chaux hydraulique artificielle (HL) et les Chaux formulées (FL) sont des mélanges de NHL avec d’autres matériaux hydrauliques ou pouzzolaniques, y compris le Ciment Portland. (EN 459).
Ciment
Liant à prise rapide. Le ciment le plus courant est le Ciment Portland. (EN 197).
Colle d
Mortier pour coller au support le matériau isolant d’un système ITE. (EN 13500). 0302602
Colle r
Mortier réactif bi-composant utilisé pour le collage de matériaux. (EN 12004, EN 1504-1).
Compactage
Procédé manuel ou mécanique de traitement d’un mortier frais pour augmenter sa densité. (EN 13318).
Conductivit
Valeur (?) caractérisant une propriété thermique d’un mortier à l’état sec. La valeur ? est liée à la densité du mortier durci. (EN 1745).
Consistance
C’est la fluidité du mortier frais. (EN 1015-3 - Mortiers de maçonnerie) (EN 12706 - Mortiers d’égalisation des sols)
Couche d
Couche appliquée en une ou plusieurs passes utilisant le même mortier, sans laisser sécher la première passe avant d’appliquer la deuxième. (ex. frais sur frais). (EN 998-1).
Couche finale
Couche supérieure d’un système d’enduisage multicouches. (EN 998-1).
Croisillon de joints carrelage
Cycle de vie
Étapes de la vie, consécutives et interconnectées, de l’ouvrage en question.
D
Capacité d’un mortier à être déformé par une contrainte sans destruction de sa structure. Cette caractéristique peut être évaluée par le module d’élasticité, mesuré de façon dynamique ou statique. (ISO 5271 + 2).
D
La dégradation du mortier par séparation des couches qui le composent.
D
Déflection enregistrée au centre, quand un échantillon de mortier est soumis à une charge en trois points. (EN 12002 - Mortiers-colles et mortiers de joints pour carrelage).
De-construction
Concept de réutiliser des structures existantes pour créer de nouvelles installations. La déconstruction inclut au moins trois phases soit partiellement soit totalement: déclassement (changement d’un statut de fonctionnement à un statut de non fonctionnement), démantèlement, et enlèvement sélectif. 0100402
Degr
Le degré de progression du mortier vers l’hydratation complète. Le niveau augmente avec la température et baisse si l’humidité disparaît. Le niveau peut être modifié par la présence d’accélérateurs ou de retardateurs.
Dispositifs de fixation m
Dispositifs permettant de fixer les panneaux d’isolation thermique au support (ex. rails ou chevilles). (EN 13499).
Dur
Durée de vie prévue par le concepteur. 0100501
Dur
Durée maximale pendant laquelle le mortier est utilisable après sa préparation. (EN 1015-9).
Dur
Durée de stockage dans des conditions définies pendant laquelle un mortier conserve ses propriétés d’application. (EN 12004).
Durabilit
Ensemble des résistances du mortier aux contraintes chimiques, mécaniques, climatiques qui lui assure son fonctionnement durable dans l’ouvrage.
Duret
surface Résistance de la surface d’un mortier durci à la pénétration d’une bille d’acier soumise à une charge.
Efflorescence
Formation d’un dépôt cristallin à la surface d’un enduit (EN 13318).
Efflorescences
Remontée de sels blancs à la surface en matériaux poreux provoquées par le mouvement de l’eau à l’évaporation.
Enduit organique
Enduit ayant un polymère pour liant principal.
Enduit silicat
Enduit minéral ayant pour liant principal du silicate de potassium. Le durcissement se fait par évaporation de l’eau puis la solidification sous l’action du dioxyde de carbone de l’air.
Entra
Adjuvant permettant d’incorporer uniformément dans le mortier une quantité définie de petites bulles d’air qui subsistent après durcissement. (EN 13318).
Fibre de verre
Fibre fabriquée à partir d’un fil continu de verre fondu, utilisée habituellement pour la réalisation d’armatures, tissus ou textiles. (EN ISO 9229).
Fibres de polypropyl
Ces fibres sont incorporées aux les mortiers d’enduisage intérieurs et extérieurs, pour améliorer la flexibilité et la résistance à l’impact.
Filler
Calcaire extrait du sol ou autre matériau inerte ayant généralement au moins la finesse du Ciment Portland, et utilisé pour améliorer la capacité de remplissage de mélanges pauvres en liants.
Fissure de retrait
Fissure due au retrait du Ciment Portland. Cela peut être du à un excès de Ciment Portland dans le mortier.
Fissures
La fissuration est une discontinuité linéaire produite par une rupture du mortier. La fissuration est la pathologie la plus habituelle, allant de quelques microns à plusieurs centimètres dans les situations les plus graves. La fissuration peut être orientée ou aléatoire dans tous les sens. Les photos 2 et 3 ont été prises sur le même ouvrage, séparées de 50 m. Toutefois, les résultats sont complètement différents: la n°2 montre quelques fissures orientées, tandis que la n°3 met en évidence une fissuration généralisée.
Granulat
Matériaux granuleux n’intervenant pas dans la réaction de durcissement du mortier. (EN 998).
Granulat dur
Granulat possédant une grande résistance à l’abrasion. (EN 13318).
Grattoir
Imperm
pressure. Résistance à la pénétration d’eau dans un support sous une pression définie.
Laine min
Matériau d’isolation d’aspect laineux fabriqué à partir de roche fondue, scories ou verre. (EN ISO 9229).
Liant hydraulique
Un liant qui durcit et développe sa résistance par une réaction chimique avec l’eau (appelée hydratation, se produit même dans la présence de l’eau) Le Ciment Portland est un liant hydraulique.
M
Maillet caoutchouc
Mat
Matériau qui permet de réduire le transfert de chaleur et dont les propriétés d’isolation dépendent de sa nature chimique et/ou de sa structure physique. (EN ISO 9229).
Maturation
Intervalle de temps entre la préparation du mortier et le moment ou il est prêt à l’emploi. (EN 12004)
Mauvaise adh
Quelques carreaux tombent. Si ceci n’est pas corrigé, ce phénomène va se développer dans le temps à cause de la chaleur et de la pluie. Il y a de multiples causes responsables du phénomène : Mortier-colle inapproprié. Mortier-colle, mais mauvaise application (par exemple, après la fin du temps ouvert).
Mortier
Mélange d’un ou de plusieurs liants organiques ou minéraux, agrégats, fillers, additifs et/ou adjuvants. 0101902
Mortier color
Mortier spécialement coloré avec une fonction décorative. 0100202
Mortier courant
Mortier qui satisfait aux besoins généraux mais ne possède pas de caractéristiques spécifiques. Il peut être fabriqué en tant que mortier préconisé et/ou formulé. (EN 998-1). 010302
Mortier d
Mortier performanciel utilisé pour les murs humides contenant des sels solubles. (EN 998-1).
Mortier d
Mortier performanciel fluide et/ou thixotropique pour combler les fissures ou cavités. Il est appliqué par injection sous pression et peut être à base de ciment ou de résines réactives. (EN 1504-1).
Mortier d
Mortier performanciel utilisé pour l’égalisation des sols ou des chapes afin d'obtenir une surface plane et lisse. Il est utilisé essentiellement pour les sols, sur surfaces horizontales. (EN 13813).
Mortier d
Mélange d’un ou de plusieurs liants minéraux, agrégats et parfois d’adjuvants et/ou d’additifs utilisé pour réaliser des enduits extérieurs ou intérieurs. (EN 998-1)
Mortier d
Mortier performanciel qui empêche le passage d’eau, sous une pression définie, dans le support.
Mortier d
Mortier qui résiste à l’eau de pluie et assure une protection des supports aux intempéries. (ex. mortiers d’enduits extérieurs et monocouches d’imperméabilisation). 0203502
Mortier de calage
Mortier performanciel appliqué par coulage pour caler des machines ou matériels. Il peut être à base de ciment(s) ou de résines réactives. (EN 1504-1).
Mortier de chantier
Mortier composé de constituants individuels (ex. liant, agrégats, eau) dosés et mélangés sur le site du chantier.
Mortier de chape
Mortier pour la réalisation d’une chape en sols.
Mortier de colmatage
Mortier pour arrêter les fuites d’eau. Il durcit normalement très rapidement
Mortier de couverture
Mortier pour le scellement des tuiles et le calfeutrement d’éléments de toiture et de maçonneries.
Mortier de finition pour ITE
Mortier composé de matériaux minéraux, organiques et/ou non organiques formant la couche finale d’un système.
Mortier de gunitage
Mortier sec pour la projection par voie sèche. (Technique du gunitage). Il est utilisé couramment pour le renforcement des ouvrages.
Mortier de jointoiement
Mortier pour remplir les joints entre éléments de maçonnerie ou carrelages. (EN 13888)
Mortier de montage
Mélange d’un ou de plusieurs liants minéraux, agrégats, additifs et/ou adjuvants, utilisé pour l’assemblage d’éléments de maçonnerie. Il peut être destiné à l’application à joints « épais » ou « minces ». (EN 998-2).
Mortier de montage
Mortier performanciel de collage des éléments de maçonnerie pour la réalisation de joints entre 1 et 3 mm d’épaisseur. (EN 998-2).
Mortier de moulage
Mortier fluide pour réaliser des ouvrages à l’aide de moules ou coffrages. Il est couramment utilisé pour faire des statues, balustres, corniches, dalles, pavés…
Mortier de parement min
Mortier industriel coloré à base de liants minéraux (ciment, chaux, plâtre…) pour la protection et décoration finale des surfaces verticales.
Mortier de parement organique (ou rev
Mortier coloré à base de polymère en dispersion, pour la protection et décoration finale des surfaces verticales.
Mortier de pavage
Mortier pour la pose de matériaux de pavage ou dallage de sol.
Mortier de r
Mélange de résine synthétique, fillers et/ou d’agrégats minéraux, et d’additifs organiques pour lequel le durcissement est obtenu par réaction chimique. Les composants prédosés sont couramment prêts à mélanger ensemble. (EN 12004).
Mortier de r
Mortier performanciel pour la réparation ou le remplacement de béton défectueux. Il peut être « structurel » (participation à la résistance de l’ouvrage) ou non. (EN 1504-3)
Mortier de ragr
Mortier performanciel utilisé pour la finition d’un support afin d’obtenir une surface plane et lisse. Il est utilisé pour les murs et plafonds.
Mortier de recette
Mortier réalisé dans des compositions définies, pour lesquelles les propriétés obtenues dépendent des proportions des constituants (Concept de recette). (EN 998).
Mortier de remplissage
Mortier fluide utilisé pour le remplissage de cavités ou d’espaces entre des matériaux.
Mortier de restauration
Mortier performanciel pour la reconstitution et réparation de pierres naturelles.
Mortier de scellement
Mortier performanciel pour la fixation et l’ancrage de matériels. Il peut être à base de ciment ou de résine réactive. (EN 1504-1). 0200102
Mortier de sous-couche pour ITE
Mortier appliqué directement sur le support /matériau d‘isolation thermique. Il contient l’armature. La sous-couche donne au système la plupart de ses propriétés mécaniques.
Mortier de sous-enduit
Mortier permettant de réaliser la (les) couche(s) intermédiaire(s) d’un système d’enduit « multi- couches ». Il est normalement recouvert d’une couche de finition. (EN 998-1).
Mortier en dispersion
Mortier de liant(s) organique(s) sous forme de polymère(s) en dispersion aqueuse, d’additifs organiques d’agrégats minéraux et/ou de fillers. Le mélange est prêt à l’emploi. 0100702
Mortier frais
Mortier mélangé, prêt à l’emploi.
Mortier hydraulique
Mortier contenant un liant minéral hydraulique qui durcit avec de l’eau.
Mortier industriel
Mortier dosé et mélangé en usine. Il peut être « sec », prêt à gâcher avec de l’eau, ou « humide », livré prêt à l’emploi.
Mortier industriel semi-fini
Mortier pré-dosé, modifié sur le chantier.
Mortier isolant
Mortier performanciel présentant des propriétés spécifiques d’isolation thermique. (EN 998-1).
Mortier l
Mortier performanciel durci dont la densité est inférieure à 1.400 kg/m3. (EN 998-1).
Mortier monocouche
Mortier performanciel d’enduisage, appliqué en une couche qui remplit toutes les fonctions (imperméabilisation et décoration) d’un système « multicouches ». Il est généralement coloré. (EN 998-1)
Mortier multi-composants
Mortier présenté en composants pré dosés (ex. poudre + liquide) à mélanger ensemble sur le site.
Mortier performanciel (ou formul
Mortier dont la composition et la fabrication est définie par le producteur afin d’obtenir des propriétés spécifiquescc (Concept performanciel). (EN 998). 0100602
Mortier pr
Constituants dosés en usine, livrés sur le site du chantier et mélangés selon les instructions et conditions du fabricant (ex. Silo multi chambre).
Mortier pr
Constituants dosés et mélangés en usine, livrés sur le chantier où un constituant spécifique peut être ajouté (ex. Ciment).
Mortier-colle
Mélange de liant(s) hydraulique(s), d’agrégats, de polymères et autres additifs organiques pour assembler des matériaux. (EN 12004). 0200602
Mortiers avec poussi
Une nouvelle génération de mortiers techniquement avancés, bénéficiant d’une réduction significative de poussière avant application, lors du versement et du malaxage de la poudre. Cette technique n’affecte en rien les performances des produits et est obtenue en utilisant des technologies spéciales.
Ouvrabilit
Ensemble des propriétés de mise en œuvre d’un mortier qui lui confèrent son aptitude à l’emploi. (EN 1015-9). 0401902
Oxyde de calcium, CaO
Aussi connu sous le nom de chaux vive, compose d’une part de calcium pour une part d’oxygène.
Performance (environnementale) du b
Aptitude d’un bâtiment à remplir les fonctions requises dans les conditions d’utilisation définies ou du comportement de ce dernier lorsqu’il est utilisé. (ISO 6707-1) 0100102
Perlite
Granulat léger utilisé pour l’isolation, fabriqué à partir de roche volcanique naturelle et dont la structure cellulaire est obtenue par expansion de cette roche sous l’effet de la chaleur. (EN ISO 9229).
Perm
Flux de vapeur d’eau passant au travers d’une unité de surface d’un mortier dans des conditions d’équilibre, rapporté à l’unité de pression de vapeur. (EN 1015-19). 0501902
Perte d
Ph
Le procédé de séchage et de durcissement d’un mélange contenant un liant ciment.
Pierre calcaire
Des roches ou pierres dont les constituants principaux sont le carbonate de calcium et/ou le carbonate de magnésium.
Pigment
Matériau colorant donnant sa couleur au mortier. Il peut se présenter sous forme de poudre ou à disperser dans l’eau.
Planification de la vie utile
L’objectif de la planification de la vie utile est d’assurer, aussi loin que possible, que la vie utile estimée de l’ouvrage ou du composant sera au moins aussi longue que celle prévue lors de sa conception.
Plastifiant
Adjuvant permettant de réduire la teneur en eau d’un mortier frais sans en affecter la consistance, ou d’augmenter sa fluidité sans affecter sa teneur en eau, ou encore de produire les deux effets simultanément. (EN 13318)
Pompe de m
Pompe de m
Pontage des fissures
Capacité d’un mortier à recouvrir des fissures dynamiques ou statiques. (EN 13318). 0100302
Porosit
Rapport entre le volume de pores et le volume total du mortier. (EN 1015-7).
Pouvoir mouillant
Aptitude d’un mortier frais à mouiller le support ou un matériau associé pour faciliter son adhérence. (EN 1347).
Pouzzolane
Matériau d’origine souvent volcanique, l’exemple le plus connu étant celui de Pozzuoli du Mont Vésuve, Italie. Les Romains utilisaient les pouzzolanes pour donner aux mortiers des propriétés hydrauliques. Elles étaient utilisées dans les mortiers classiques et ont donné le nom générique de Pouzzolanes.
Profil
Utilisés dans les angles, ils permettent la réalisation de bords nets et aussi une protection contre les impacts
R
Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en trois points. (EN 1015-11- Mortiers de maçonnerie). (EN 13888– Mortiers de joints pour carrelage).
R
Résistance déterminée par l’application d’une force exercée parallèlement à la surface du mortier. (EN 1322 - Adhésifs et colles réactives). (EN 12615 – Mortiers de réparation du béton).
R
Capacité d’un revêtement de sol à assurer par frottement une résistance au glissement de personnes ou de véhicules. (EN 13318).
R
Résistance déterminée par l’application d’une force exercée perpendiculairement à la surface du mortier. (EN 1348 - Mortiers-colles). (EN 1015-12 - Mortiers d’enduit). (EN 12636 – Mortiers de réparation du béton).
R
Aptitude d’un mortier [hydraulique] frais à conserver son eau de gâchage pour permettre son durcissement normal. (EN 1015-8).
Renforcement
Barres, treillis, filets ou fibres ajoutées au mortier, ou matériau incorporé dans la couche d’enduit ou du système pour améliorer sa résistance mécanique. (EN 13318, EN 13500)
Résistance en compression

Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en deux points opposés. (EN 1015-11 – Mortiers de maçonnerie). (EN 13888 – Mortiers de joints pour carrelage).

Résistance en flexion

Valeur maximale de rupture d’un mortier, déterminée par l’exercice d’une force en trois points. (EN 1015-11- Mortiers de maçonnerie). (EN 13888– Mortiers de joints pour carrelage).

Résistance en traction

Résistance déterminée par l’application d’une force exercée perpendiculairement à la surface du mortier. (EN 1348 - Mortiers-colles). (EN 1015-12 - Mortiers d’enduit). (EN 12636 – Mortiers de réparation du béton).

Retardateur
Adjuvant du mortier qui retarde le début de durcissement. (EN 13318)
Retrait
Réduction de volume d’un mortier sans support, après durcissement. (EN 12808-4 – Mortiers de joints pour carrelage).
Rugosit
Caractéristique de la texture d’un mortier.
Rupture adh
Rupture apparaissant à l’interface entre le mortier et le support ou le matériau associé. La valeur correspond à l’adhérence.
Rupture coh
Rupture apparaissant dans l’épaisseur du mortier (la résistance du mortier est inférieure à celle du support) ou dans le support (la résistance du mortier est supérieure à celle du support).
Silos
Sous-enduit
Couche(s) inférieure(s) d’un système. (EN 998-1). 0103502
Sous-face
Partie inférieure horizontale, exposée d’un bâtiment. (EN 13499).
Spectre de ma
Dû à un mauvais mortier et/ou à une épaisseur insuffisante d’enduit, les éléments de maçonnerie deviennent visibles au travers de l’enduit, spécialement par temps humide.
Super plastifiant
Adjuvant permettant de réduire fortement la teneur en eau d’un mortier frais sans en affecter la consistance, ou d’augmenter sa fluidité sans affecter sa teneur en eau, ou encore de produire les 2 effets simultanément. (EN 13318)
Support
Surface sur laquelle le mortier (enduit organique ou minéral ou revêtement peint) est appliqué.
Support de d
Matériau utilisé pour supporter l’enduit de façon à le rendre indépendant du support. (Par exemple, une toile fixée au support en béton)
Syst
Syst
Système de produits manufacturés appliqué sur site, comprenant au minimum une colle et/ou des dispositifs de fixation mécanique, un matériau d’isolation thermique, une ou plusieurs sous-couches, une armature et une couche de finition. Ces composants sont indissociables.
Syst
Série de couches appliquées sur un support, éventuellement avec une désolidarisation et/ou un renforcement et/ou un pré-traitement. (EN 998-1).
Taloche
Taloche crant
Taloche plastique
Temps de durcissement
Délai nécessaire pour obtenir la résistance d’un mortier. Il correspond dans la pratique au délai de mise en service de l’ouvrage fini.
Temps de prise
Durée au bout de laquelle le mortier commence à durcir. Après ce temps le mortier présente normalement une sensibilité à l’eau réduite. (EN 1015-4).
Temps ouvert (TO)
Délai maximum après application pour effectuer la finition. (EN 1346 - Colles à carrelage). (EN 12189 - Mortiers de réparation du béton).
Thixotropie
C’est le changement de consistance d’un mortier frais sous l’action d’un mouvement ou d’une agitation.
Toile en fibre de verre mortiers et am
Utilisée pour éviter la fissuration des
Truelle d
Truelle de jointoiement
Unit
Vermiculite
Matériau d’isolation obtenu par expansion et exfoliation de mica naturel sous l’effet de la chaleur. (EN ISO 9229). 0302802
Vie utile
Période de temps après l’installation durant laquelle une construction ou un système constructif remplit ou excède ses exigences techniques et fonctionnelles.